La pop minimaliste de Barbarossa

Barbarossa cherche à nous faire flotter. À quoi d’autre s’attendre de la part d’un corsaire ? Bon, ok, j’arrête l’humour. Barbarossa, c’est le pseudo de James Mathé qui, en plus d’être londonien, est roux. Et barbu. Et expérimenté, puisqu’il avait déjà enfanté l’excellent Bloodlines en 2013, qui sublimait le vintage mais néanmoins somptueux instrument qu’est l’orgue. Que je vous invite à découvrir de ce pas, donc.

barbarossa-bloodlines

Le 11 mai est sorti Imager (en écoute intégrale ici), toujours autant tourné vers la pop électronique qui envoûte – avec drastiquement moins d’orgue, cela dit – et que personne ou presque n’avait remarqué. Heh, mieux vaut tard que jamais…
Petit tip : si vous allez sur son site et que vous y tapez votre adresse mail, vous passerez par quelques étapes étranges qui vous permettront de télécharger gratuitement le single Imager !

 

barbarossa-imager

Pour rétablir l’équilibre, écoutez donc The Wall, chanson qui clôture à merveille cet album aux sons propres, non dépourvu d’une certaine puissance qui vient s’agglutiner lentement dans vos oreilles. Pas convaincu-e ? Confirmez vos doutes avec Settle, ou encore Nevada. Glandez sur votre canapé au rythme de Home ou de Silent Island. Laissez refroidir votre chocolat chaud au son de Dark Hopes. Répétez tout cela plusieurs fois, et vous aurez voyagé le temps d’une nuit, sans même vous en rendre compte.barbarossa2

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *