Rubican nous offre à la mémoire et c’est très addictif.
C’est le problème du son de Rubican et de A la mémoire. Ca te reste dans la tête et tu peux pas le virer. J’ai mis trois jours à m’en défaire. Et non ce n’est pas un reproche c’est une qualité et ça prouve la justesse de la composition et de l’écriture. Le refrain s’emballe au rythme des guitares.
A la mémoire, à la mémoire de qui déja ?
Je vais me mettre de coté ce titre, pour l’écouter quand je serais en colère. Ca me calmera pas, au contraire, mais ça me fera du bien.
C’est extrait de Trouble Fête son second ep quio est sorti chez Believe le 15 janvier dernier. Ah et je découvre que le mec est beau gosse en plus d’être talentueux, je suis jalousie.
