Dans une ambiance pop world, Bertrand Burgalat nous offre Musées et cimetières
Bertrand Burgalat a clairement le prénom et le look d’un serial killer sociopathe délirant ou bien d’un méchant d’une suite éhontée d’Austin Powers. Et pourtant il pue tellement la classe. Sa musique, pop nonchalante, est d’une langueur magnifique. Il avance en chaloupant pour dire des choses dures mais avec poésie. Il s’écarte puis revient pour piquer la rime et la note. Le titre est un moment de charme délicat, posé comme une caresse sur tes oreilles. Il y parle de la nostalgie, de son épitaphe. Ecoute donc.
C’est donc extrait de « Les chose qu’on ne peut dire à personne »et c’est beau. Il sera d’ailleurs en concert au MaMA Festival le 19 octobre.
