Les Aoûtiens en cartons

Je viens de passer la semaine la plus éprouvante de mon existence. On a fait un déménagement sur huit jours, en mode endurance… Du coup, j’avais besoin d’un truc qui me motive, qui m’aide à tenir face à ce géant fait de carton et de papier bulle. Donc après avoir remonté ces satanés trois étages pour la douzième fois,  je me dis qu’il me serait impossible de continuer par ces foutus 35° à l’extérieur ! Alors j’ai tout de suite pensé à eux, non pas qu’ils puissent nous aider, mais je me suis dit qu’ils allaient m’être d’un grand soutien, vu l’engouement avec lequel ils jouent leur musique. Je décide donc, pour mieux lutter contre le soleil écrasant, de faire exploser le vieux 2.1 de la coloc’ avec leurs Nova-Leigh et autres Barnacle Goose aussi colossaux que les 110m² à débarrasser. Oui nous étions à Marseille, actuelle capitale du coup de soleil fatal et de la transpiration continue, pour un bref séjour de vacancier dans le Sud, avec certes une activité un peu différente de ces Aoûtiens en short-tatanes comme il est de tradition dans la cité Phocéenne. Nous voilà revenu, et je constate que les albums de Born Ruffians n’ont vraiment pas perdu en qualité pendant notre voyage de retour sur Paris. Et après avoir ramené les 80 kilos de matos de ma douce aimée, le sublime Plinky Plonk m’a donné la motivation et l’envie d’écrire ces quelques mots.

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