Juno sais pas.

Autant être honnête avec vous, depuis les années 90 de Diam’s à Shym en passant par Alliage et les L5, j’ai une trouille bleue des découvertes musicales. Seul Haddaway et Bowie ont mon amour éternel. D’ailleurs, je déteste découvrir des nouveaux artistes et surtout en concert.

Australopithèque, je vénère Cohen et Foreigner. Voilà que le boss m’offre un cadeau, deux places pour un concert. Celui de Juno et Hanna au nouveau Casino. Un cadeau quoi… Comme ça, tranquille sans rien en échange. Ni une, ni deux, j’enfourche mon appareil photo et curieuse, j’y vais.

Hanna fait la première partie. Je la vois arriver avec sa robe cousue main façon « retour dans le futur », je n’en pense pas moins, je me dis même « allez, pousse la chansonnette que je me marre ». Elle l’a poussé la chansonnette dis donc et pas comme je le pensais. Légères, aériennes, ses paroles m’ont mises du baume au coeur et j’ai même ri. Hannah, jeune fille de 23 ans nous racontait ses histoires de coeur. C’est beau cet âge, cette naïveté et ses râteaux..

 

Motivée mais toujours sceptique, j’attends donc Juno, composé de Yann et Julien.

Premières notes… du miel. Les influences sont multiples. Un sacré mix entre les années 80 et nos artistes pop d’aujourd’hui, un touche de Phoenix et là, du bonheur pour les oreilles. Pour définir leur musique voici une phrase qui leur sied  à merveille  » S’inspirer de ce qu’on a adoré hier et qu’on aime toujours aujourd’hui pour faire danser demain. » Pendant leur concert, j’ai dansé, j’ai sauté ou je ne sais plus très bien dans quel ordre et surtout j’ai écouté, avec le coeur.

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