Below the Sun n°3 c’est le 5 juillet au Klub avec Valley of the Sun et Texas Chainsaw Dust Lovers

BIen malin qui pourrait dire aujourd’hui ce qu’est le Stoner Rock. A tenter de le définir, on tombe invariablement dans les références à un passé de plus en plus lointain. A trop vouloir copier ces références, on finit par les fusionner dans un joyeux melting pot. Et ce qui fait la force du Stoner d’aujourd’hui c’est justement sa capacité à dépasser les références et mélanger les genres. Le Stoner Rock se définit plus par une Extra Cool Rock’n Roll attitude que par une sonorité fidèle à tel ou tel groupe ancestral qu’on vénère comme la statue de la Vierge Marie en plâtre peint posée sur la télé de mémé Paulette.

Les groupes qui jouent dimanche 5 juillet au Klub appartiennent tous au mouvement Stoner, même si certains s’en défendent. C’est leur public qui leur a collé cette étiquette et elle leur va bien, comme une barbe mal taillée, une chemise à carreaux ou un kit de pédales de disto.

La soirée est co-organisée par Glad Stone Asso et nos partenaires de Below The Sun. Tu peux leur faire confiance pour te proposer du bon et que du bon sur scène. Tout comme tu peux faire confiance au Klub, annexe du célèbre Black Dog, pour te proposer du frais et rien que du frais à la pompe à bière.

En clair, le set de dimanche va vous mettre le feu (s’il vous reste une ou deux onces de sueur à perdre après cette semaine de canicule). Il va y avoir du Stoner comme s’il en pleuvait sur la scène du Klub.

Du parisien avec Stoned Void et Texas Chainsaw Dust Lovers, du ch’ti avec One Eye Dollar et de l’américain avec Valley of the sun.

Un petit avant goût?

 

Un EP de Valley of the sun (pas le dernier, mais tout ce que fait le groupe est cool)

 

Un live de TCDL capté au Glazart cette année

 

Un live de One Eye Dollar

 

Le debut album de Stoned Void

 

Et comme d’habitude, l’événement vient habillé d’une splendide affiche originale de l’ami Jo Riou. Elle sera d’ailleurs en vente en édition limitée à la sortie (seulement 30 exemplaires, alors sors toi les doigts si tu veux en avoir une, ça claque quand même plus qu’une carte postale de Robert Doisneau ou le poster d’Indochine que tu as eu dans Top 50 magazine de mars 1986).
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