T’as un compte Twitter ?

Mais c’est quoi qui te plait sur Twitter?

On l’a tous eu cette question… Et personne n’a jamais su répondre. Parce que Twitter ça s’explique pas, t’accroches ou t’accroches pas mais tu sais pas vraiment pourquoi.

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Pour ceux qui s’intéressent pas aux réseaux sociaux ou ceux qui vivent dans la ZAD (allez vous laver les cheveux), Twitter c’est un site de microblogage créé en 2006. Le principe est simple, tu as 280 caractères (140 initialement) pour t’exprimer sur ce que tu veux et les réseaux se créent suivant le centre d’intérêt de chacun via un système de follow. (c’est de l’anglais, fallait suivre les cours de Mme Pichard)

Alors pourquoi se créer un compte ? Ben il y a plusieurs raisons, certains le font par conviction politique, d’autres par envie de partager leur humour et certains même y sont pour le boulot. Moi c’était juste pour voir ce que c’est. Et j’ai bien accroché, j’y ai trouvé un terrain de jeu idéal pour mon humour parfois limite, j’y ai trouvé des potes qui sont devenus plus que virtuels, j’y ai trouvé un endroit ou je pouvais pousser des coups de gueule vraiment pas utiles mais ça fait quand même du bien! Certains y ont trouvé l’amour même. Twitter > Tinder.

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Evidemment y a pas que du positif sur Twitter, y a les fascistes qui sont plus ou moins libre de dicter leurs doctrines, y a la course au follow qui pousse certain(e)s a plagier des tweets déjà fait pour se sentir aimer, y a des gens que la vie a cassé et qui sont des proies faciles pour les pervers narcissiques. Il y a également les aspirants djihadistes qui propagent leur haine de tout le monde, mais aussi une misère sentimentalo-sexuelle telle que l’anonymat pousse quelques twittas/os a tout pour recueillir un petit compliment. Bref c’est la vie quoi, mais en totalement exagéré.

Mais c’est sur Twitter que j’ai pu rire des choses les plus horribles avec un journaliste spécialisé dans la bourse (coucou Antoine). C’est sur Twitter qu’Isabelle Mergault m’a suivi en me demandant pourquoi les gens se sont réjouis de mon retour. C’est aussi sur Twitter que j’ai essayé de combattre le cyber-harcèlement entre deux blagues sexistes (bisous Nikita). Mais surtout, c’est sur Twitter que j’ai découvert les limites de la liberté d’expression.

J’y suis plus (Twitter n’aime pas mon humour visiblement), je sais pas pour combien de temps… mais si vous avez envie de rire, de vous énerver ou de débattre avec des gens qui, comme vous, ne connaissent rien du sujet en question. Faites vous un compte, parce qu’on passe quand même des bons moments avec cette bande de cons.

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