Ray LaMontagne, ça vous gagne

Ray fait partie de ces chanteurs folk avec qui on voudrait traîner, boire des bières et parler du temps qui passe.

Une sensibilité à fleur de peau et une voix faite pour chanter, assurément. D’une enfance pas facile, il garde les stigmates du renoncement. À 26 ans, un boulot à l’usine et déjà 2 enfants, sa vie change à l’écoute du « Treetop Flyer » de Stephen Stills. Il enregistre une maquette de dix chansons qui attire l’attention des labels. Son premier album sort en 2004, mais c’est en 2006 que je le découvre avec une reprise de Gnarls Barkley.

My name is Rey Skywalker

Ray revient avec Monovision, qu’il a intégralement écrit, enregistré et produit. Ce n’est pas l’album le plus festif de l’année, mais c’est celui qui te fera voyager cet été vers des contrées oubliées. C’est fait pour regarder le ciel en rêvant d’ailleurs. Tu peux l’écouter sur YouTube car Ray est cool et la vie est belle.

I just don’t give a damn anymore
About winning or taking sides
Trying to change your mind […]
‘Cause we got love in our hearts today
We got love that ain’t gonna change
We got love, and it won’t fade away

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