Le télétravail c’est la vie ! La musique aussi !!!

Le télétravail, c’est bien joli, mais c’est quand même plus sympa quand on peut écouter de la bonne musique dans le même temps.


Alors bien sûr mettre du Motörhead quand on travaille sur des fichiers Excel. C’est pas vraiment recommandé pour la bonne tenue du tableur. Il y a des limites bien sûr, mais un fond de musique calme permet de mieux se concentrer et de passer un meilleur moment.

Aujourd’hui je vous propose 5 albums de musique de jeux vidéo pour égayer vos .xls et .doc

Into the breach de Ben Prunty : l’ami des matheux

C’est l’album de la concentration, des pistes qui auraient très bien eu leur place dans une résolution de casse-tête à là Sherlock. Rien d’étonnant à ça quand on connaît le jeu qui est une sorte d’enigme tactique proche d’un jeu d’échec.

 

You, me & gravity : The music of Planet Coaster de Jim Guthrie et JJ Ipsen: la positive vibration

Alors celui-ci sent bon l’innocence propre à un jeu de construction de parc d’attraction. Il est doux et optimiste et c’est un régal pour se concentrer, mais aussi dans une période comme la nôtre.

 

Coffe talk de Andrew Jeremy : chill et reposant

Pour ceux qui finissent tard ou ceux qui commencent tôt le matin leur télétravail cette BO est faites pour eux. Elle nous berce, nous enlace. Un petit moment où le temps se suspend. Parfait.

Grim Fandango Remastered de Peter McMcConnell : bande son légendaire et jazzy

Celle là, c’est un classique des BO de jeux vidéo et elle se prête très bien au travail. Un poil plus péchu que les précédentes sur certaines pistes. Le côté jazzy fera fuir certains et adhérer d’autres. Les goûts les couleurs, tous ça…

 

Risk of Rain de Chris Christodoulou : planant et péchu

Mon chouchou avec son nom très drôle. N’empêche le Christodoulou il signe une BO de folie qui allie le planant des guitares et des nappes de synthé avec des riffs plus énergiques et le tout dans le plus grand des calmes. Il se peut que vous vous arrêtiez de taffer pour tendre un peu plus l’oreille. Vous m’en voyez navré d’avance…. Ou pas. 

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