Vous connaissez mon admiration pour Damon Albarn, il était donc évident que je vous partage le documentaire qu’Arte lui consacre.
Damon Albarn, Une histoire anglaise est un documentaire d’Adrien Pavillard qui retrace la carrière de dieu Damon en parallèle de l’histoire récente de l’Angleterre. L’histoire débute avec Blur en 1989 puis enchaine avec la création de la Britpop. Puis vient le concours de bite avec Oasis pour savoir qui était le plus gros vendeur de disque du moment. Ensuite, c’est la réflexion, la maturité, la création de Gorillaz, The Good, The Bad and the Queen, le collectif musical Africa Express et le reste.
Ce que j’aime chez lui, c’est qu’il tente des choses. 30 albums en trente ans, autant dire qu’il a pas beaucoup pris de RTT. Il ose et créé en mélangeant les genres au gré de ses curiosités. Évidemment, quand tu écris un Opéra en mandarin ou que tu sors un album de pop triste à chialer comme The Nearer The Fountain, More Pure The Stream Flows, tu sais que tu vas pas cartonner. Il pourrait compiler les sons et tabasser les charts encore et encore. Il a le talent pour. Mais ce n’est pas ce qui rend heureux Damon, ce qu’il aime c’est se renouveler et moi j’aime ça.
Le documentaire est disponible jusqu’au 19 juillet. Profitez en.
