J’inhibe la frustration,
La noie, la cloisonne,
Sans compromission,
Sans remords l’abandonne
Pour qu’elle sombre profond.
J’émancipe l’insolence,
Gouvernante des raisons,
Qu’elle instaure l’indécence
Aux amours buissonnières,
Qu’elles jouent en contorsions
Sur les banquettes arrières,
Ou en crucifixion
Dans des draps satinés,
Quand fort, au bois du lit,
S’arriment les poignets,
Et que là s’asphyxient
Les murmures enfiévrés
Des corps désinhibés.
Inhibition