Lundi matin, je me lève en retard. Le changement d’heure, la flemme ou autres. Tout de suite c’est la course. Courir le lundi matin, c’est rentrer à grand pas dans le 5ème cercle de l’enfer.
Je plonge alors dans 151a, appartement, boite à musique. Musique puissante avec « Manchester » je pars sur mon dragon enjamber les nuages. Les violons m’emportent. Ça me rappelle « Son lux » en moins electro. « Bright whites débute par des choeurs », ça ressemble à des chants tribaux. Je me prends un second café. Je regarde le ciel bleu en souriant. Ce titre contient des sourires en paquet de 100. Je passe sur « it all began.. », c’est la chanson raté de l’album. Il en faut une.
Je coupe. Réunion. Repas.
« Wonder Woman wonder » résonne comme une question, un écho féminin. Ca donne envie de tourner. Voila, c’est une musique de toupie, la bande son quand tu te roules dans l’herbe. « Chester burst over the Hamptons, est un titre court, enlevé, qui part dans le cosmique . « Atticus in the desert » et les autres titres s’enchainent. Pas vraiment de cohérence, juste une ligne musicale. Le dernier titre est un peu plus long, moins rythmé, spatial. STOP.
Ulysse
J’ADORE !!
Kishi Bashi - Bright Whites | Anotherwhiskyformisterbukowski
[…] avions pris un énorme plaisir à diffuser son album. Nous allons prendre un grand plaisir à diffuser ce clip […]