Le top 2022 de la rédaction : les films & séries

L’équipe AOW te propose ses pépites de l’année.

 

Après la musique, voici le cinéma et les séries.

La sélection de Charles

2- Drôle sur Netflix. La série est signée Fanny Herrero, la créatrice, de Dix pour cent. On y suit 4 comiques dans leur quête de reconnaissance. On découvre l’envers du décor, les ambitions et le reste. C’est touchant, amusant et extrêmement bien joué. Malheureusement, il n’y aura pas de saison 2. Dommage.

3- The playlist est une série suédoise qui raconte la création de Spotify du point de vue de chaque protagoniste, programmeur, investisseur, avocat, maison de disque et artiste. Ce parti pris de narration permet de comprendre avec justesse le sujet et les divers intérêts. Tout n’est pas mignon et gentil au pays des internets, vous allez le découvrir.

4- Brooklyn Nine Nine, saison 8. La série (je vous fais pas le pitch, vous connaissez) se termine avec brio, c’est assez rare pour être noté. Elle est drôle, comme toujours, et cette dernière saison se permet même des critiques sur le système policier et judiciaire américain. Ces personnages vont vraiment me manquer. J’espère juste qu’il n’y aura pas de reboot ou de spin off. Elle est parfaite comme ça, on touche à rien.

La sélection de Rino

BULLET TRAIN de David Leitch Le film qui file à toute berzingue sur des rails (…. de coke?) nippons. Banzaïi!! Mon chouchou de l’année !

BULLET TRAIN – Official Trailer (HD) – YouTube

– The GREEN KNIGHT  de David Lowery film de 2021 mais sorti chez nous en début d’ année. Une des légendes (moins connue) des chevaliers de la Table Ronde. Etrange et onirique, en tout cas fascinant.

 

LES SERIES :

THIS IS US Sixième et dernière saison :Parce qu’on a dit adieu à la famille Pearson, la plus attachante du petit écran ces dix dernières années. Larmes

– The WATCHER : Le mini-série bien flippante de Ryan Murphy, inspirée d’un fait réel. On vous observe…

COBRA KAI, saison 4 et LE FLAMBEAU : mes deux plaisirs coupables de l’année, mais quel pied ! Avec une mention spéciale pour les trois derniers épisodes du Flambeau.

 

 

La sélection de Charlie

« L’incroyable périple de Magellan » : ce documentaire d’Arte en 4 parties m’a scotché. Des images sublimes alternant rencontres avec des historiens et séquences animées pour recréer le voyage du navigateur. Une musique puissante signée Quentin Sirjacq et Nicolas Becker, le sound designer oscarisé de Sound of Metal (qu’on avait rencontré en interview). Bref, c’était le cadeau idéal pour les 500 ans de l’expédition qui a changé notre monde.

 
La sélection de L’Homme des Cavernes
 
Cette année, mon top 2022 est une mini-série, produite par Arte, intitulée « Le Monde de demain ». Elle nous propose un double biopic de Joey Starr et Kool Shen, avant même leur première rencontre, jusqu’à la formation du groupe NTM. Les acteurs sont incroyables, c’est extrêmement bien filmé et ça me rappelle ma jeunesse, à l’époque où je ne connaissais que le métal et le punk rock et où une bande de gamins énervés allait mettre de l’éclectisme dans mon walkman.
 

 

La séléction d’Os&aN

1- Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson. Une histoire d’amour contrariée dans le Los Angeles des années 70, constellée d’une galerie de personnages qui ponctue l’entrée dans l’âge adulte des deux protagonistes, ça pourrait être chiant mais c’est PTA, du coup c’est jouissif.

2- Everything Everywhere All at Once des Daniels. Jamais un film n’aura aussi bien parlé dépression et suicide avec autant de joie de vivre. Un film touchant et hilarant au concept assumé et au message simple. Soyons plus gentil et plus bienveillant les uns envers les autres, la vie c’est nul mais l’amour c’est chouette. C’est pas naïf, c’est juste sincère.

3- As Bestas de Rodrigo Sorogoyen. Un film stressant et angoissant. Des acteurs exceptionnels. La bétise humaine dans toute sa splendeur, saupoudrer de racisme, dans un petit village isolé. Un cauchemar éveillé, c’est sublime.

4- Decision to Leave de Park Chan-Wook. Une enquête à résoudre, une romance impossible, c’est bien filmé, c’est beau et à la fin, c’est triste. On est jamais déçu avec Park Chan-Wook.

5- The Innocents de Eskil Vogt. Une preuve, s’il en fallait, qu’il n’y a rien de plus terrifiant que les enfants. Une version fantastique du ruban blanc, la naissance du mal, mais aussi du bien. Un film pour vous persuader de ne jamais vous reproduire.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *