Palace of the King, un nouveau groupe de hard australien qui va te mettre en joie

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Palace of the King est le deuxième groupe de rock australien avec king dans son nom que je découvre cette année (et que je te fais découvrir, par la même occasion). J’avais commencé il y a quelque mois avec le power duo King of the North (j’en profite pour t’informer qu’ils seront le 13 octobre prochain au Divan du Monde en ouverture de Glenn Hugues. Ouais, THE putain de voice of rock nous fait l’honneur d’une date à Paris sur sa tournée mondiale 2015. A ne rater sous aucun prétexte. Je poursuis juste l’aparté pour te présenter très brièvement le troisième larron du concert, c’est un jeune guitariste ‘prodige’ qui s’appelle Jared James Nichols. Il était à Paris en avril où il a ouvert pour Linyrd Skinyrd. Pas trop ma came cela dit, je l’ai chroniqué pour Metal-Impact si tu veux aller plus loin: ma chronique de Jared James Nichols sur Metal-Impact.

Bon, mais revenons à nos moutons, et en l’occurence à nos six moutons australiens. Je te les présente, ils le méritent bien: Tim Henwood (chant et percu), Leigh Maden et Matthew Harrison (guitares), Andrey Gilpin (basse), Sean Johnston (claviers) et Anthony Troiano (batterie).

palace of the king band

Ces six là vont t’entraîner dans un trip de hard rock very very seventies, qui lorgne plus du côté de Led Zep’ que de Black Sab’. Le groupe fondé en 2012 a sorti deux EP qui n’ont pas quitté l’Australie avant ce premier album distribué par le label français Listenable records (il est sorti le 15 juin, c’est tout frais).
C’est pas du revival, ni cet espèce de vintage que nous sert pas mal de groupes en manque d’imagination qui pensent qu’il suffit de porter un jean moule-burnes et une permanente caniche pour chanter comme Robert Plant, ou de celles qui voudraient passer pour Janis Joplin sous prétexte qu’elles portent une robe à fleurs et chantent avec les cheveux devant les yeux…
Non, là c’est juste des mecs qui te balancent un gros rock couillu, du riff pêchu, des bons petits soli de guitare, des nappes de clavier à bon escient et un chant qui avoine la pouliche, entre Robert Plant et Bon Scott…

Les dixpistes nous baladent d’un point à l’autre d’un groove endiablé, sans répétition ni ventre mou. Un bon premier album plein d’entrain comme on aimerait en entendre plus souvent. Rock ain’t dead baby!

Tu peux aller en apprendre plus sur le groupe sur sa page Facebook.

palace of the king album cover

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