© Saito Thomas La nuit, ce royaume pénétrant et sombre de désirs tus au grand jour, j’oublie mon nom.
nuit
nuit
Vingt-trois heures trente. Tu marches le long des quais, et tristement, personne ne t’accompagne dans ta solitude. Pas même un vieux clochard saoul. Tu es abandonnée …
Ferme les yeux. Imagine-toi monter le volume de quelques décibels du lecteur de ton cabriolet. Il est deux heures du matin. Les lumières de la ville …