Hohnen Ford, douceur du dimanche

Ce qui est chouette avec les différents médias et réseaux sociaux c’est qu’il permet d’apprendre, de s’élever, de découvrir de nouvelles personnes, de nouveaux sons et émotions, bref de ce qui donne de son intérêt à la vie. Beaucoup ont découvert l’artiste d’aujourd’hui via Rick Beato, un célèbre et respecté Youtubeur musicien complet et ingénieur du son, moi je l’ai découvert via une story Instagram de la fée November Ultra (et je l’en remercie).

Hohnen Ford est une jeune Anglaise, ancienne étudiante en Jazz à la Royal Academy of Music de Londres, pianiste, autrice et compositrice. Dans sa toute jeune oeuvre, démarrée il y a deux ans, l’héritage de Joni Mitchell est rémanent, les morceaux, très chargés pour certains en émotion, vous enveloppent comme un plaid. La jeune femme a un sens (inné ?) de la mélodie, sa voix est douce et chaleureuse, sa technique vocale dénuée de toutes fioritures, inspirée par moment de Björk, Chet Baker et Sarah Vaughan; le tout pouvant rappeler ses consoeurs artistes Regina Spektor et Fiona Apple.

 

 

Après “Infinity” son premier LP réussi en 2023, un nouvel LP est paru s’intitulant “I wish I had a God”. Les premiers morceaux tirent plutôt vers la pop, parfois un peu folk, jusqu’au titre éponyme, épuré, intime et magnifique.

(Je dédicace spécialement ce morceau, en ce 29 novembre 2024, à mon Papa parti il y a tout juste un an).

I wish I had a God so you could be here with me
‘Cause everything you are you give away.And I’d give everything I have just keep you safe.Take my internal organs, tell me it will be ok. 
Oh I wish I had a God so I could see you again.
Once in a while when it’s too much to handlePretend it’s my birthday with a cake and a candleWhat would I wish for with a penny to spend.I’d wish I had a God so I could see you again.

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