Le 28 octobre 2020, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot expliquait que les plateformes de streaming (dont Netflix) devaient désormais investir une part de leur chiffre d’affaires réalisé en France (un quart environ) dans la production hexagonale ou européenne. Et bien, c’est parti. Les premiers travaux vont être lancés.
Ils vont ainsi aider à la restauration du mythique Napoléon d’Abel Gance et de sa version longue (7 heures) par la cinémathèque en collaboration avec les laboratoires Eclairs Classics. Par ailleurs, ils organiseront (quand on pourra) des événements comme des Master Class.
En bonus, on a appris qu’en 2021, la firme américaine allait (enfin) payer un impôt sur ses bénéfices en France (et elle en fait). Bon la rumeur veut que ça soit contre un assouplissement de la chronologie des médias. Mais bon, on ne va pas faire la fine bouche. On sort juste de 2020.