Josh Homme et ses Queens Of The Stone Age, classés X ? Pas qu’une question de traduction… revue des troupes
Voici l’article qui devrait rabibocher tout le monde (en mode accent du sud), qui devrait mettre tout le monde d’accord à droite de l’orchestre comme à gauche (continuer avé l’assent du sude). Retour sur la carrière du plus grand groupe de Stoner – grunge – postpop de Kellog’s : Queens of the Stone Age.
Ici, un postulat.
Je n’ai qu’à faire des râgots et mâlâdresses mal (habilement) prômus et rabâchés sur tous les câbles hêrtzien, nûmérique et ôptique (en mode accent circonflexe). Enrâgé, passe ta route, les prises de position des Eagles of Death Metal m’ennuie sans bornes. Or de question que cet article soit la fissure dans le mur de la haine.
Sur ce, je branche mon jack, j’enclenche la fuzz, je cligne au batteur…
3 – 4…
RATED R !!
Mets-toi ça dans les esgourdes, FORT !
Et celle-là, plus pop-décharnée.
T’avoueras que c’est original. Et que ça détend.
Il s’agit là de leur deuxième galette, sortie en 2000, dans laquelle ils en profitent pour enterrer définitivement Kuyss, ce qui est une autre autre autre histoire encore. Ils frappent fort, définissent contours et lignes de fuite, font bourdonner, lanciner, extasier.
Puis vient la théorie de la poussière. Pas loin de celle du désert.
Ce qu’il a t’offrir en matière de psyché et d’introspection, de défonce et de perte.
Attention, j’ai pas dit concept-album. Non, non, tu n’y es pas du tout. T’oublie trop le speed, si tu penses Pink Floyd. Et le gros son aussi, bien sûr. Non ici, sûr, la bouche est pâteuse mais elle ne va pas tarder à trouver son jus d’abondance, c’est là qu’est l’urgence.
La théorie de la poussière est cette tension qui te fait ramper jusqu’à la prochaine hallu, en plein cagnard, nu comme un ver, sans fin s’il le faut.
Allez chérie, rate pas celle-ci.
… »c’est une chanson anti-drogues, tu peux en prendre […], tu peux t’abrutir au Prozac […] si ça peut te relaxer, mais t’as pas intérêt à toucher à un joint ! »
On s’arrête là pour le moment.
Je sais, c’est chaud.
Moi-même je me sens chelou, là. Zique de fou, y’a pas à tordre.
Juste le temps pour nous de vous annoncer le grand retour du groupe en stude. Ils ont écrit, puis réunit le même line-up que la dernière fois (trop précision dans mes mots, impressionnant) et puis voilà. Pas de date prévue, ça devrait dépendre de tout un tas de machins avec l’équipe technique et le label. Mais bon, ils sont de nouveau là.
Je t’embrasse. FORT !