Solidays 2018 – le recap

“Nourrir les esprits, rapprocher les festivaliers et faire chavirer les cœurs “

Il y a deux semaines*, le patron m’a donné des billets pour aller couvrir le Solidays. Ouais je sais, j’ai un patron cool. Ne meurs pas noyé dans ta jalousie s’il te plaît.

Toujours est-il que je savais pas trop par quel bout attaquer ce billet. J’ai carrément pas mal hésité à te faire un descriptif minute par minute du festival pour te dire à quel point c’était bien (et bordel que ça l’etait).

T’expliquer ma petite révélation intérieur face à un Eddy de Pretto que j’avais toujours trouvé marrant-mais-sans-plus et que maintenant j’aime bien. Que Jain était tellement cool et qu’elle m’a donné envie de m’acheter une combi qui ressemble à un bleu de travail. Te dire que je suis (re)tombée in love avec Rilès, tellement ce mec déborde de charisme et de talent.

De combien j’ai été impressionnée par l’humanité et la proximité dont Big Flo et Oli ont fait preuve. Et que j’ai enfin pu voir le groupe qui a bercé ma crise d’ado (bisous Two Doors Cinéma Club).

Et puis qu’il y a aussi eu des trucs moins bien.
La prestation quasi-invisible de therapy TAXI, cachés par un trop petit chapiteau, qui a fait cracher pas mal sur les réseaux sociaux. Ou encore la demie heure d’attente chaque fois qu’on voulait prendre une bière (je peux maintenant mettre sur mon CV que je sais survivre en milieu hostile tel Bear Grills).
J’ai aussi été déçue face à l’impatience qui caractérise un peu ma génération lors de ce qu’on pourrait qualifier de “David Guetta Gate “ aka le retard du DJ. Si tu veux en savoir plus, plein d’autres sites en ont parlé.

Mais je trouvais plus intéressant de te parler du côté associatif et partage de l’événement. De la bonne ambiance, des gens sympas et de l’équipe d’organisation au top. Que c’est une occasion unique de participer à quelque chose de plus grand que soi tout en y trouvant son compte. De soutenir une bonne cause. D’écouter de la bonne musique. De Rencontrer des gens. Et se lier avec eux. Et pourquoi pas se découvrir une vocation ?

En tout cas pour ma part, je serais à coup sûr parmi la foule l’année prochaine. Et toi ?
Peut être même qu’on s’y croisera…

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*2 semaines c’est long, je suis clairement pas le meilleur modèle de productivité. Je veux bien te l’avouer.

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