Retour dans le cauchemar numérique
Accroche-toi à ton écran (ou jette-le, c’est peut-être plus sûr), Black Mirror revient le 10 avril sur Netflix avec une septième saison qui promet de nous tordre le cerveau encore une fois. Six nouveaux épisodes, des dystopies bien poisseuses et une suite à USS Callister, l’un des meilleurs épisodes de la série.
Côté casting, c’est du lourd : Issa Rae, Awkwafina, Peter Capaldi, Emma Corrin, Paul Giamatti et une ribambelle d’acteurs qui vont sûrement passer un sale quart d’heure à cause d’une IA trop futée ou d’un gadget qui va ruiner leur existence.
La bande-annonce tease déjà des histoires où la technologie fout tout en l’air (quelle surprise), avec des twists bien sentis et un retour dans l’espace pour l’équipage de l’USS Callister. Bref, prépare-toi à ne plus jamais faire confiance à ton smartphone (ou à toi-même).
Black Mirror, c’est cette série qui te fait regretter d’avoir un smartphone et te donne envie de balancer ton ordi par la fenêtre. Créée par Charlie Brooker, elle décortique nos pires cauchemars technologiques en imaginant des futurs pas si lointains où l’innovation se retourne contre nous. Chaque épisode est une histoire indépendante, un condensé d’angoisse et de satire sur notre addiction au digital, la surveillance généralisée, les intelligences artificielles et les réseaux sociaux qui nous bouffent le cerveau.
Depuis son arrivée en 2011, la série a aligné des chefs-d’œuvre comme *USS Callister*, *Nosedive* ou encore *San Junipero*, oscillant entre dystopie ultra-glauque et rares éclats d’optimisme. L’esthétique est léchée, les scénarios terriblement réalistes, et le casting toujours au top (Bryce Dallas Howard, Daniel Kaluuya, Aaron Paul…).
Avec la saison 7 qui débarque en avril, *Black Mirror* continue de nous hanter avec six nouveaux épisodes, dont une suite très attendue de *USS Callister*. Si tu pensais que la technologie nous facilitait la vie, prépare-toi à revoir ton jugement. Parce que dans *Black Mirror*, chaque avancée est une nouvelle façon de foutre nos existences en l’air.
