Août est gris, la croissance est au point mort, Ribéry prend sa retraite internationale…
Autant de préoccupations qui n’ont plus cours au pays merveilleux du photographe Oleg Oprisco, là où les jeunes filles sont désespérément belles, les mises en scène au delà du poétique et la saturation d’une douceur à pleurer.
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