Nous chroniquerons aujourd’hui le second album de stromaé, racine carrée.
Nous débuterons par une courte analyse musicale de l’album
L’album de stromae est bourré de référence musicale et visuelle (quand je dis visuelle je dis qu’il parle en image et qu’il fait des allusions à la télé et au ciné, je doublessensise). Comme l’a dit Pierre, les rythmes africains sont très présents. C’est binaire et dansant mais pour autant, ça dichotomise dans la nuance. Les samples sont tres travaillés même si parfois un peu trop simple.
Les textes :
Pour reprendre l’expression de pierre “stromaé cisèle”. Il travaille ses textes, il y a de la punchline en masse. Ca touche parfois au beau, ça te met des frissons partout, ça te touche. Le vrai talent de stromaé est dans l’écriture et le texte. Il a une tendance au double sens qui est vraiment intéressante. Il y a de la sincérité et de la poésie dans chaque titre et ça, ça arrive pas partout.
En conclusion
Un excellent album qui effleure le parfait et le magnifique dans plusieurs morceaux. Il va rester un moment dans ma playlist, excepté un titre ou deux et ce putain de featuring avec orelsan et maitre gims qui salope l’album.