Soirée bunga-bunga dans n’importe lequel des festivals estivaux. Un savant cocktail pétard-bière-chaleur-concert de Fauve (c’est tellement facile de se perdre dans ces grandes étendues vertes de monde, on vous en veut pas) fait de vous un dégingandé kaléidoscope humain, les formes géométriques s’entremêlent devant vos yeux comme deux grandes frites dans le grand Big Mac de l’amour, une éjaculation de non-sense envahit vos sens.
C’est exactement ce qui vient à l’esprit lorsqu’on se risque à écouter Bipp, de la productrice anglaise Sophie. Comme un épisode des Teletubbies en plus light.
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