THE MORTIFIED GUIDE – une thérapie pour adolescence pourrie

J’avoue cette dernière année, j’ai eu beaucoup de temps pour moi. Non pas que je n’ai RIEN fait, mais disons j’ai pas mal eu le temps de rentabiliser mon abonnement Netflix (OK CA VA, c’est même pas le mien). Toujours est-il que j’ai pas mal poncé leur catalogue et que j’ai trouvé quelques petits trucs cools que j’aimerais te faire partager –parce que je suis très sympa, c’est bien connu

La dernière fois je vous avais présenté En Bref, qui te pitchait la science en 20 min chrono (mieux que Jack Bauer tavu) – et si t’as pas vu, bah je te remet le lien ici – parce que je suis VRAIMENT TRÈS SYMPA.

Après cette intro beaucoup trop longue, j’arrête le suspense. Je voulais te parler de « The Mortified Guide To« , une sorte de docu-serie en 6 épisodes où des adultes viennent sur scène pour lire leur journal intime ou raconter un passage particulièrement risible de leur adolescence, le tout devant un public de parfaits inconnus.

C’est drôle –genre VRAIMENT drôle– et surtout hyper touchant. Les gens sont vrais, émouvants et surtout bourrés d’autodérision. C’est marrant de se rappeler à quel point on peut devenir dramatiques pendant cette période sur des problèmes totalement insignifiants.

Ils ont regroupés les intervenants par thematiques qui sont celles qui sont hyper présentes à l’adolescence : l’amour, la famille, la pop-culture mais surtout de sexe.

Je suis tombée dessus par hasard un soir où je n’allais pas très bien, et ce truc à littéralement sauvé ma journée. Je me suis tapée les 6 épisodes d’affilés, et j’en aurait bien regardé plus. Après ca, je me suis mise à contacter (hysteriquement) mes potes pour leur conseiller de lâcher ce qu’ils faisaient pour mater ca. La bonne nouvelle c’est que le concept a été adapté d’un podcast qui porte le même nom, donc si après avoir maté ça, tu en veux encore, EH BAH Y’EN A ENCORE. YEAAAAH.

Donc pour avoir accès a la série ça se passe ICI et pour le podcast ca sera PAR LA

Et surtout rappelez vous : « We are freaks, and we are fragile, but we all survived »

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