On écoute fort We Hate You Please Die et automatic mode

On s’écoute “Automatic Mode”, le nouvel extrait de l’album ‘Chamber Songs’ de We Hate You Please Die qui sortira sortir le vendredi 20 septembre prochain chez NMAS et Incisive Records.

Tu aimes “automatic mode”? C’est du brutal

Après l’excellent “Adrenaline” que je vous avais partagé et le tout aussi excellent “Stronger Than Ever”que je vous avais partagé aussi, WHYPD nous propose le très burtal “automatic mode”. Plus post punk, plus sombre, le groupe rouennais continue d’envoyer du sax pour nous faire du bien aux oreilles. J’aime ce petit break de batterie qui va bien. Mettons nous donc en mode automatique et envoyons du lourd.

Le groupe sera à la tannerie de Dijon le 28 septembre puis le 19 au stereolux de Nantes et pour terminer (ou pas) le 7 novembre à la maroquinerie, le 30 novembre à Troyes et le 22 mars à Glasgow.

 

Et la bio express du groupe

We Hate You Please Die est un groupe de rock alternatif originaire de Rouen, en France. Formé en 2017, le groupe s’est rapidement imposé sur la scène musicale underground avec un son énergique qui mélange punk, garage rock, et des influences noise. Leur musique est souvent décrite comme brutale et viscérale, tout en étant traversée par des touches mélodiques et des textes engagés.

Le groupe est constitué de Chloé Barabé (chant, basse), Joseph Levasseur (guitare) et Mathilde Rivet (batterie).

leur premier album, “Kids Are Lo-Fi” (2018), a capté l’attention grâce à son mélange explosif de riffs acérés et de paroles introspectives. Leurs morceaux traitent souvent de sujets comme l’anxiété, la société, et les pressions sociales, avec une approche à la fois sarcastique et sincère. Ils ont continué sur cette lancée avec leur deuxième album, “Can’t Wait To Be Fine” (2021), où l’on retrouve un son plus mature tout en conservant l’énergie brute qui les caractérise. De retour avec leur nouvel album « Chamber Songs », We Hate You Please Die nous dévoile les pages de son journal intime constitué de textes enragés, sous influences punk et riot girls. Sur scène, la sincérité de Chloé, Mathilde et Joseph entraine émotions, frénésie et transmet l’énergie de leur univers libérateur. Entre tension et violence, le trio prend source dans le bruit autant que dans l’introspection.

 

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