Après 28 jours plus tard et 28 semaines plus tard, le grand Danny Boyle complète sa trilogie avec un troisième opus à la bande-annonce vraiment flippante.
Ecrit par Alex Garland à qui l’on doit La Plage (ce qui est bien) et Civil War (moins bien) en collab avec Danny, on ne sait pas grand-chose de cette suite.
Le synopsis officiel est : « La Grande-Bretagne vit depuis 28 ans sous le joug d’une terrible épidémie qui infecte les personnes et en fait des humains enragés. Quelques groupes de non infectées subsistent. L’histoire se concentre sur un jeune garçon qui cherche un médecin pour aider sa mère mourante. »
On y voit et on y verra donc Aaron Taylor-Johnson, Jodie Comer (Le Dernier Duel), Ralph Fiennes (The Grand Budapest Hotel) et d’autres encore. Et je crois, enfin, il n’y a pas que moi, que Cillian Murphy est aussi dans le film en tant que zombie mais c’est pas sur.
Le film sera en salle le 18 juin 2025.
Attention SPOILER
28 heures plus tard (28 Days Later)
Le premier film démarre avec une scène inoubliable : un activiste libère des chimpanzés de laboratoire porteurs d’un virus appelé Rage. Ce dernier se propage à une vitesse fulgurante, transformant les infectés en créatures violentes et incontrôlables.
Le protagoniste, Jim (Cillian Murphy), se réveille d’un coma dans un hôpital déserté à Londres, 28 jours après le début de l’épidémie. La ville est en ruines, et la société s’est effondrée. Il rencontre d’autres survivants, notamment Selena (Naomie Harris) et Frank (Brendan Gleeson), avec qui il tente de fuir vers un endroit supposément sécurisé.
Cependant, le film montre que le danger ne vient pas seulement des infectés, mais aussi des humains, lorsque Jim et ses compagnons croisent un groupe de militaires ayant des intentions douteuses. Le film explore des thèmes tels que la survie, la perte de l’humanité et la résilience face à l’apocalypse.
28 heures plus tard (28 Days Later, 2002) et sa suite, 28 semaines plus tard (28 Weeks Later, 2007), sont deux films marquants du cinéma de zombies modernes, réalisés par Danny Boyle (le premier) et Juan Carlos Fresnadillo (le second). Ces œuvres revisitent les codes du genre avec un mélange d’horreur, de drame et de thriller.
28 heures plus tard (28 Days Later)
Le premier film démarre avec une scène inoubliable : un activiste libère des chimpanzés de laboratoire porteurs d’un virus appelé Rage. Ce dernier se propage à une vitesse fulgurante, transformant les infectés en créatures violentes et incontrôlables.
Le protagoniste, Jim (Cillian Murphy), se réveille d’un coma dans un hôpital déserté à Londres, 28 jours après le début de l’épidémie. La ville est en ruines, et la société s’est effondrée. Il rencontre d’autres survivants, notamment Selena (Naomie Harris) et Frank (Brendan Gleeson), avec qui il tente de fuir vers un endroit supposément sécurisé.
Cependant, le film montre que le danger ne vient pas seulement des infectés, mais aussi des humains, lorsque Jim et ses compagnons croisent un groupe de militaires ayant des intentions douteuses. Le film explore des thèmes tels que la survie, la perte de l’humanité et la résilience face à l’apocalypse.
28 semaines plus tard (28 Weeks Later)
La suite se déroule, comme son titre l’indique, 28 semaines après les événements du premier film. Le virus Rage semble éradiqué, et une zone sécurisée à Londres est établie par une force internationale menée par les Américains. Les survivants commencent à être rapatriés dans cette zone de sécurité.
Le film suit une nouvelle famille, notamment Don (Robert Carlyle), qui a survécu à l’épidémie initiale en abandonnant sa femme, Alice. Lorsque cette dernière est retrouvée vivante, il s’avère qu’elle est porteuse d’une version du virus qui ne la transforme pas, mais peut infecter d’autres personnes.
La situation dégénère rapidement : le virus se propage à nouveau et plonge Londres dans le chaos. Le film met en avant le désespoir des tentatives de contrôle, la cruauté des décisions militaires (notamment l’ordre de tuer tous les civils dans la zone) et les liens familiaux face à la catastrophe.