Stripes balance une pépite pleine d’émotion avec “Forever, It Won’t Change”

On avait déja eu le bonheur d’en parler avec leur single So Fucked, et c’est un plaisir d’en parler à nouveau, voici Strypes et « Forever i won’t change ».

Des guitares en équilibre instable, un chien philosophe et un cri du cœur : bienvenue dans le chaos sublime de Stripes.

Le dernier single de Stripes, « Forever, It Won’t Change », c’est un uppercut musical. Imaginez une balade pop qui aurait sniffé un rail de punk avant de s’élancer dans la mêlée. Les guitares des couplets tanguent dangereusement, comme si elles allaient faire imploser la chanson, mais au lieu de ça, elles explosent dans un refrain effervescent. Et les paroles ? Une claque : « I don’t want to fucking change. » Le genre de cri primal qui vous agrippe par le col pour vous secouer les certitudes.

Et sur la pochette ? Luna. Une chienne. Pas une icône punk, pas une égérie pop, mais une boule de poils qui incarne toute la vulnérabilité du morceau. « Luna, c’est le désir brut, l’émotion à l’état pur », confie Izzy MK, la voix du groupe. Quant au batteur Dave Possehl, il pousse la métaphore jusqu’au cosmos : « Nous, humains, on court après l’amour et la sécurité comme un chien derrière une balle de tennis. » Voilà, Stripes, c’est ça : des riffs affûtés, une chienne émotionnelle et des vérités qui vous cognent en plein cœur.

Le groupe Stripes, basé à Brooklyn, incarne l’indie-rock brut et à vif. Des harmonies mélodiques presque anguleuses s’associent à des performances live tout aussi explosives.

Stripes se distingue par un style et un son qui lui sont propres, mêlant des couplets serrés et percutants qui vous entraînent vers des sommets triomphants de refrains entêtants. Mené par la chanteuse et autrice-compositrice Izzy MK, dont la voix oscille entre puissance et vulnérabilité, leur musique est à la fois chargée d’émotion et d’une intensité sonore remarquable.

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