Hiatus Kaiyote, fidèles à la magie

Et c’est sur un air enchanteur à la harpe, « Dreamboat », que s’ouvre le nouveau très attendu Hiatus Kaiyote, sorti aujourd’hui.

Le meilleur groupe de Nu-Soul du monde poursuit son parcours sans faute avec ses nouvelles onze mélopées parfois plus jazzy que d’habitude comme « Make friends », « Dimitri » et « How to meet yourself », parfois très electro dans « Longcat » et même carrément punk rock dans un « Cinnamon Temple » virevoltant mais globalement toujours terriblement suaves et portées par la sublime voix de Nai Palm qui semble s’être complétement remise du sale crabe. Allelujah !.

Cette fois-ci, le fil conducteur de l’album est l’amitié avec un A majuscule. De la bienveillance, de la ferveur et de l’espoir, c’est pile ce qu’il nous fallait en ces temps sombres et individualistes. Et contrairement à ce qu’évoque le nom de l’album, « Love Heart Cheat Code », cette quatrième oeuvre du quatuor australien fidélise et ne donne nullement l’envie d’aller promener ses oreilles voir si le son est plus chaud ailleurs.

Avec Hiatus Kaiyote dans le casque, everything is beautiful !.

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