La pépite du jour c’est Mari et sa douceur Atlas

Se revêtir de 5 pulls, s’emmitoufler dans une grosse couette, faire un bon feu de cheminer rougeoyant, vider d’une traite une bouteille de whisky…Est-ce qu’au final, le meilleur moyen de se réchauffer en cette période hivernale ne serait pas de gâter nos oreilles d’une douceur musicale qui ravive la flamme de notre cœur ?

La réponse juste après les deux points : oui !

Ah la musique, un bazar sonore pour certains, un refuge psychologique pour d’autres. Aujourd’hui, notre docteur nous vient du pays où « Le petit chaperon rouge » est interdit, autrement dit les États-Unis, pour ceux d’entre vous qui n’auraient pas deviné.

Vrai charbon ardent sur l’instrumentale, Mari parvient à nous faire oublier l’erreur flagrante de son nom de scène grâce notamment à son sens de la mélodie, mais également par sa douce voix parfaitement maîtrisée. Progéniture musicale d’Erykah Badu et D’Angelo, le jeune chicaogan n’a pas de quoi rougir face à ses géniteurs artistique rendant, avec ce morceau, une prestation presque sans défaut. « Atlas » est planant, plein d’innocence, d’envolées de voix dans les aigus, s’inscrivant dans la lignée que peuvent nous offrir nos contemporains que sont Jamila Woods ou Ravyn Lenae (pour les plus curieux ça vaut le coup d’y jeter une oreille)

mari

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *