Que les murs puissent avoir des oreilles ne m’inquiète pas plus que ça… En revanche, si les plafonds avaient des yeux, ils auraient pas mal d’anecdotes peu glorieuses à raconter.
Lee Price s’est attachée a représenter avec douceur, bienveillance presque, ses moments de compulsions. À travers ses auto-portraits, elle met en lumière l’absurdité du réconfort apporté par une pléthore de donuts, un happy meal ou encore un menu B12 au creux d’une baignoire. Touchant et parfois gênant.
Ah et je vous avais dit qu’elle était peintre ? Coucou l’hyperréalisme. Léger NSFW à prévoir.