La chronique la plus rapide de l’ouest au milieu d’une tonne de travail. J’ai écouté bien de la musique ces derniers temps et à moins que mes oreilles ne soit pleine de quelque chose qui m’infecte le cerveau, j’ai pas eu beaucoup de coups de coeur.
Du coup je savais plus trop quoi faire d’elles (mes oreilles), et j’étais un peu en panique.
Mais inutile de paniquer. Car il fut un temps, où un homme exista. Et cet homme un jour devint une légende. Il créa parmi les plus belles choses de la terre, avec sa voix, avec ses petits doigts grouillants sur un clavier de piano.
Et cet homme nous donna à tous le plaisir de partager ses plus folles ambitions musicales.
Ainsi grâce à lui (en partie), je ne perds jamais vraiment le nord. Je sais toujours où porter mon regard quand l’horizon est plus vide et aride qu’un désert de néant. Il est un morceau de la boussole que j’ai construis dans ma tête autour des belles choses que j’aime. Une boussole qui m’indique la ligne courbe d’arc en ciel qui amène mes yeux à regarder au-delà de la cime des arbres parce que je ne sais pas ce qu’il y a derrière, et qu’il faut que je l’invente. Qu’il faut des fois voir trop grand.
Lui a dépassé ces limites, qui n’existent que dans le grand inconscient, qui nous laisse croire que l’on ne peut pas faire certaines choses. Il n’avait de limites que celles de son corps et de sa chair qui l’obligeaient à exister sur terre.
S’il avait pu, il se serait dissout dans l’absolu de l’art et du temps, il serait devenu l’étoile filante bondissant à travers le ciel, ou le tigre sur terre défiant la gravité.
Mais heureusement il était Freddie Mercury, il chantait avec sa voix, son coeur, sa bite, son cul, et il faisait vibrer les nôtres.
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(Chanson élue Best Driving Song Ever OF COURSE)
Love F 4Ever.