Orelsan tiendra le rôle principal dans « Yoroï », un long-métrage signé David Tomaszewski avec lequel il a déja travaillé de nombreuses fois dans ses clips (et que tu vois aussi dans Perdu d’avance, le documentaire sur Orelsan). Par exemple, « ils sont cool » ou « L’Odeur de l’essence« , c’est lui.
Je te copie colle le pitch : « Après une dernière tournée éprouvante, Aurélien décide de s’installer au Japon avec sa femme Nanako, enceinte de leur premier enfant. Alors que le jeune couple emménage dans une maison traditionnelle dans la campagne japonaise, Aurélien découvre dans un puits une armure ancestrale qui va réveiller d’étranges créatures, les Yokaïs… »
Il partagera l’affiche avec Clara Choï qui a joué dans « Chambre 212 », « Tamara » ou bien plus récemment « Louis 28 ». Evidemment quand tu connais un peu ce que fait le rappeur caennais, ça fait écho à sa passion pour l’asie et sa culture.
Le film sortira dans les salles le 22 octobre 2025. Wait and see donc.
Biographie express d’Orelsan :
Orelsan, de son vrai nom Aurélien Cotentin, est un rappeur, auteur-compositeur-interprète et réalisateur français, né le 1er août 1982 à Alençon. Connu pour son style unique mêlant humour, cynisme et sens aigu de l’observation, il se distingue par des textes incisifs et des paroles parfois controversées qui reflètent les préoccupations et les désillusions de sa génération. Il débute sa carrière avec des morceaux autoproduits sur Internet, comme le célèbre *Changement*.
Son premier album *Perdu d’avance* (2009) marque l’entrée d’Orelsan dans la scène rap française, mais c’est avec *Le chant des sirènes* (2011) qu’il connaît une véritable consécration, remportant une Victoire de la musique. En 2017, son album *La fête est finie* est un énorme succès critique et commercial, confirmant son statut de pilier du rap francophone.
Orelsan s’essaie aussi à la réalisation, notamment avec la série documentaire *Montre jamais ça à personne*, qui retrace son parcours atypique. À travers ses projets, il continue d’évoluer, explorant des thèmes comme la quête de soi et les défis de la vie moderne, tout en conservant ce regard acerbe et désenchanté qui fait sa signature.