Imaginez une déferlante de décibels, un tourbillon de sueur et de fuzz déchaîné qui frappe vos tympans sans prévenir : c’est ça, le son « Minds » du Wasted Youth Club, la tornade musicale néerlandaise.
Avec « Minds » et leur album « Consequences », laissez-vous emporter par la furie sonore batave
Ces quatre gars, plongés en pleine crise de quart de vie (25 piges, c’est rien, imaginé quand ils en auront quarante), se lancent dans un défouloir sonique où chaque note semble être une tentative de survie dans un 21e siècle absurde. Leurs inspirations ? Du lourd, FIDLAR, Thee Oh Sees, Wine Lips – rien de moins que des bêtes de scène, des prophètes du rock déjanté qui ont déjà fait trembler des foules. Wasted Youth Club n’invite pas seulement à l’écoute, ils implorent vos enceintes de se déchaîner, au risque de faire râler les voisins. Parce qu’après tout, ce n’est pas vraiment une fête tant que tout le monde ne l’a pas entendue et l’a crié très fort.
On s’écoute donc « Minds » extrait de leur album « Consequences » sorti cette année et on saute un peu partout comme des fifous.
Lyrics ;
I’m broke, no job, but I got a lot of time
They lied that time equals money
Run along the line and do as Nike said
It’s a state of my, it’s a state of mind
But I don’t have one anyway
As years ran by, I found some of the answers
But these answers won’t buy me a home
And if you have something for me, you’re fucking paying for my food
and NO! Ain’t a state of my, not a state of my mind
Cause I don’t have one anyway!
Where is my mind, where is my mind?
Where is my mind, where is my mind?
Where is my mind, where is my
Mind
Mind
Wooh!