« Des grooves acid-jazz aux explorations cosmiques et au-delà, Jazz Dispensary ouvre la porte à une expérience musicale intense ».
Voilà comment est décrit sur son propre site la collection de disques « Jazz Dispensary ». Mais qu’est-ce cela signifie au juste ?
Depuis quelques années, le label Craft Recordings spécialisé, dans la réédition du catalogue des musiques de Concord, a décidé de nous faire (re)goûter à des pépites musicales en publiant des compilations d’artistes des années soixante et soixante-dix sous une série d’albums intitulée « Jazz Dispensary ».
Ne sont sélectionnés dans ces disques que le meilleur du groove, du funk, de la soul ou du jazz de l’époque. L’objectif avoué étant de nous faire connaître des artistes qui ne sont pas forcément passés à la postérité, mais dont le talent est néanmoins réel.
Le label a ainsi déjà sorti plusieurs compilations sous les titres Jazz Dispensary : Comsic Stash », « Jazz Dispensary : Purple Funk », « Jazz Dispensary : Soul Diesel » ou « Jazz Dispensary : Orange Sunset », parfois en plusieurs volumes.
Et récemment, Craft Recordings a choisi de nous offrir encore du très bon en sortant une nouvelle compilation sobrement baptisé « Jazz Dispensary : The Dank D-Funk Blend Vol. 2 ».
Les artistes Ray Barretto, Charles Earland, Leon Spencer, Esther Marrow, Pleasure, Cal Tjader, Pucho and the Latin Soul Brothers et Johnny Guitar Watson sont remis à l’honneur et au goût du jour.
Les huit titres de l’album vont vous emporter dans un voyage vers le passé entre funk, soul et même latino jazz, pour offrir à vos oreilles une virée sonore inédite et à la piste de danse votre plus beau déhanché.
Mais ne vous arrêtez pas à cet album et n’hésitez pas à écouter toute la collection de Jazz Dispensary qui pourra vous faire (re)découvrir des pépites oubliées, sinon, je l’espère, vous faire groover lors de vos prochaines soirées d’été.