Comme d’habitude. Voici un petit recap des 5 pépites qu’ils ne fallaient pas manquer sur le site cette semaine. Ca va envoyer du bois
1/ Saigon Soul Revival et Ai Thật Lòng Yêu Ai (Who Truely Loves Who?)
J’ai l’honneur et l’avantage de vous présenter Saigon Soul Revival et Ai Thật Lòng Yêu Ai (Who Truely Loves Who?) extrait de leur album Mối Lương Duyên sorti cette année. aigon Soul revival fait du Nhạc Vàng et le fait bien. Nhạc Vàng… ça sonne comme un secret chuchoté au coin des rues moites de Saïgon, quelque part entre une vieille chanson de Johnny Hallyday et une pluie tropicale écrasante.
2/ Pogo Car Crash Control et « Don’t get sore »
Deux ans qu’ils étaient hors radar (ils tournaient, logique), et les revoilà : Pogo Car Crash Control débarque avec « Don’t Get Sore », un single tout feu tout flamme, chanté… en anglais, s’il vous plaît. Exit le français et bienvenue à Lola, qui prend le micro tout en gardant la basse bien calée.
3/ Noga Erez et « AYAYAY »
On aime et on valide la chanteuse israelienne Noga Erez et son titre AYAYAY feat Dillom extrait de son album The Vandalist. Noga Erez est son propre orage. Elle n’imite personne. Elle est cette fille cool au fond du bar, celle qui sait exactement à quel moment rallumer la sono pour faire exploser la fête.
4/ Fat Dog et « Peace Song »
Fat Dog dévoile son tout nouveau titre, “Peace Song”, enrichi d’une chorale d’enfants histoire qu’on ne les oublie pas après la sortie de leur album Woof en septembre dernier.Alors c’est pas exactement un nouveau titre, le groupe le joue en concert depuis un moment. Le groupe originaire du sud de Londres continue d’envoyer son électro rock riche et cinématique. Je valide bien fort.
5/ Baudelaire et Preacher
Les six lascars de Baudelaire, tout droit sortis des entrailles post-industrielles de Birmingham, viennent de balancer leur dernier missile sonore : « Preacher ». Preacher », ça démarre presque gentiment, avec une rythmique qui te ferait presque danser – presque. Et puis bam, ça éclate : une basse poisseuse, des guitares glitchées qui hurlent comme des sirènes et une voix en spoken word, tendue comme un câble électrique.