Alexandre Astier, via un post Instagram (parce que oui, même les rois se doivent d’être connectés), nous a gratifiés d’une annonce qu’on attendait depuis un moment : « le tournage de Kaamelott – Deuxième Volet (parties I et II) s’achève bientôt ». Boom. Il nous balance ça avec deux clichés du film.
Astier ne fait pas les choses à moitié (évidemment). « Kaamelott – Deuxième Volet », c’est deux films. Pas un, deux. Les deux films débarqueront à quatre ou cinq mois d’intervalle. C’est du millimétré. Le premier ? Marquez vos calendriers : 22 octobre 2025. Le timing est calculé pour maximiser l’excitation, faire monter la sauce et les canards.
Et les premières images ?
Premier cliché : Arthur, notre bon vieux roi, semble avoir pris cher. Vieilli, drapé de toile, il erre dans un décor qui crie la solitude et la quête existentielle dans la continuité du premier film. Deuxième photo : Arthur encore, cette fois allongé, regard perdu, tandis que Guenièvre pionce à côté comme dans la série.
Et pour le reste, il faudra attendre.
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Kaamelott : Premier Volet – Résumé
Après une décennie d’exil à Rome, Arthur Pendragon revient en Bretagne, déchu de son trône par son ancien allié, Lancelot du Lac. Désormais tyran, Lancelot gouverne d’une main de fer avec l’aide de mercenaires saxons, semant la terreur et éradiquant les derniers chevaliers de la Table Ronde. Arthur, accablé par ses échecs, mène une vie humble et désabusée, loin des luttes de pouvoir.
Cependant, une rumeur persistante sur le retour du roi légitime rallume l’espoir chez les Bretons et les résistants. Aidé par quelques fidèles – dont Perceval, Karadoc et son demi-frère Yvain – Arthur se redécouvre une mission : reprendre Excalibur et rassembler son peuple contre la tyrannie. Le film mêle habilement l’humour décalé propre à la série et un ton plus grave, explorant des thèmes de rédemption, de leadership et de loyauté.
Dans un ultime acte de bravoure, Arthur s’affirme à nouveau comme le souverain légitime et rallie les Bretons dans un élan d’unité, posant les bases pour une saga épique. Ce premier volet navigue entre drame et comédie, servant d’introduction ambitieuse à une trilogie prometteuse, tout en conservant l’essence déjantée et poignante de « Kaamelott ».