Joker : Folie à Deux, on l’a pas vu mais on vous donne notre avis quand même

“Joker : folie à deux” est la suite du Film “Joker” avec Joaquin Phoenix dans le rôle titre et Lady Gaga dans le rôle d’Harley Quinn. Cette suite est réalisée par Todd Phillips. Voici notre avis, entièrement inventé et absurde (ou pas).

Le pitch : Enfermé à Arkham, l’asile de Gotham City, alors que son procès va s’ouvrir pour ses crimes perpétrés sous le pseudonyme du Joker, Arthur Fleck y croise Harley Quinn (Lady Gaga), aperçue lors d’une classe de chant. Alors qu’un attentat vise le palais de justice, ils s’échappent et se retrouvent ensemble, fous amoureux, dans Gotham pour le meilleur et surtout le pire.

Joker : Folie à Deux, Un lala land de la folie

Joker: Folie à Deux est un véritable chef-d’œuvre, où la folie d’Arthur Fleck, superbement incarnée par Joaquin Phoenix, atteint des sommets insoupçonnés. Dans cette suite débridée, Todd Phillips transforme le film en une comédie musicale avec de nombreuses chansons entre Joaquin Phoenix et Lady Gaga. La musique devient un élément central du récit ce qui n’enlève pas le fait qu’on voit pas Batman et que le scénario a quelques longueurs, notamment dans la partie procès.

Le film explore des thèmes aussi variés que la dynamique des relations humaines et la façon dont les écureuils organisent des manifestations pour revendiquer des droits d’auteur sur leurs propres cris. L’harmonie désordonnée de leurs interactions nous rappelle que la réalité elle-même est une comédie mal écrite, où les punchlines sont toujours en retard.

En somme, Joker: Folie à Deux est une aventure cinématographique qui nous rappelle que la folie est quotidienne, sans originalité et sans idées nouvelles. Alors, préparez-vous à plonger dans un monde où le rire et les larmes se mélangent dans une danse chaotique aussi déroutante que fascinante et à peut être un peu d’ennui.

Et qui sait, peut-être qu’un jour, les pingouins prendront le pouvoir et renverseront l’ordre établi… après tout, tout est possible dans l’univers d’Arthur Fleck.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *