Il fallait bien rendre hommage à feu reine Elisazebth II d’Angleterre. Et pour cela, j’ai pas trouvé mieux que God Save the Queen par le boys band punk, les Sex Pistols
Je vais pas me lancer dans une nécro de la reine, il va y avoir des milliers d’articles et il y a déja une série, The Crown. Mais par contre, je peux vous raconter une légende urbaine autour de cette reprise punk que vous pourrez ressortir ce week-end autour d’une bière. God Save the Queen ou God Save the king, ça dépend des fois, serait l’adaptation d’un titre francais (on faisait des remixs au moyen age) composé par Lully. La composition, nommé à la base, Grand Dieu sauve le Roi sur des paroles de la marquise de Créquy souhaitait un bon rétablissement au roi Louis XIV qui revenait d’une Fistule anale (un abcès à côté de l’anus).
God Save the Queen et la légende de la fistule anale
La mélodie aurait été entendue par Haendel lors d’une voyage à Paris qui l’a noté pour ensuite la faire traduire par le pasteur Carrey. Il fut pris en suite par la maison Stuart vers 1688. Le reste appartient à l’histoire et il est cocasse d’imaginer qu’une chanson pour aider le cul d’un roi à guérir retentisse aujourd’hui un peu partout dans le monde pour célébrer nos amis anglais, lesquels, on fait d’ailleurs bien mieux en musique depuis.
Au passage, lors de la sortie de la reprise par les Sex Pistols, les britanniques étaient tellement choqué que certains s’en sont pris au chanteur du groupe, Johnny Rotten et l’ont molesté à coup de bouteilles en pleine rue. Il fut censuré également par la BBC et la rumeur (toujours elle) explique qu’on a empêché le titre d’être en tête des charts anglais ( il fut second derrière I Don’t Want to Talk About It, de Rod Stewart)