Sans avoir vu les mad Max des années 80 parce que j’étais trop jeune (vous n’imaginez pas le bonheur pour moi de pouvoir dire ça), je me suis lancée dans Mad Max fury road. Genre pour pas mourir bête, et parce que tout le monde disait que c’était fabuleux.
L’histoire se déroule dans un désert franchement pourri ou des clans s’affrontent avec des voitures remontées comme sur un parking d’Intermarché de Picardie un vendredi soir pour une réunion tuning.
Ce gentil petit monde se bat pour de l’eau et de l’essence, dans une ambiance de violence digne d’un premier jour de soldes à -80% chez Zara.
Ces fous du volant sont dirigés par le grand chef Immortan Joe, un gros porc dégueulasse asthmatique ayant des problèmes de peau. Jojo est alors trahi par sa fidèle Furiosa qui se barre en camion en emmenant les épouses pondeuses destinées à assurer sa descendance de gros dégueulasse (pas vu l’ombre d’une FEMEN sans soutif dans le sable pou dénoncer l’oppression, moi)
Une course poursuite démarre entre Furiosa et tous les hommes du gros porc.
Max, ancien policier au passé compliqué qui passait par la (quelle bonne idée), est enlevé par l’armée de jojo pour servir de poche à sang universel et accessoirement de pare choc humain (moches mais prévoyants les mecs), il va alors réussir à se libérer et aider Furiosa à échapper à tout ce joli petit monde.
Cette traversée du désert va se faire dans un festival de cuir, de clous et de musique métal (genre si Dominique Chapatte avait tourné un épisode de Turbo en plein festival Hellfest)
Furiosa et Maxou trouveront l’aide d’un petit jeune de chez Jojo: Nux, un mec un peu chauve, excité et apparemment dépendant d’une sorte de Ventoline à paillettes, qui veut absolument que des gens témoignent (la j’ai rien compris, mais je soupçonne les témoins de Jéhovah)
Au terme de deux heures de poursuite, un accouchement, 6378 morts et une perte de 75% d’audition , cette aimable équipe arrivera à destination, dégagera le moche et fêtera le retour de l’eau dans une ambiance de pub Tahiti douche.
Au casting de cette saison d’Auto Moto, on retrouve Charlize Theron: avec un bras en fer et la coupe de Sinead O’Connor, capable de réparer un carbu à une seule main, mais toujours aussi belle.
Tom Hardy reprend le rôle de Max après Mel Gibson, avec un peu moins de cuir mais un beau petit cul, des gros bras et un regard capable selon la légende de féconder une femme après un seul clin d’œil.
6 oscars pour ce film, rien que ça, un rythme de fou, des décors exceptionnels, de la cascade et un esthétique parfait.
Par contre, maintenant que je l’ai vu, je comprends pourquoi mon surnom en voiture est Mad Max depuis des années. Suffisait de me dire de conduire un peu plus souple hein.
Harskie
On ne fait pas un article juste pour rabaisser un film en parlant d’une franchise et d’un univers que l’on ne comprends pas. Blog naze, articles nazes.
Charles Chinasky
Mer de votre retour. Bonne journée.
Johnfluo
Ahahah! Je me suis bien marré en lisant cet article!
Moi qui suis un grand fan de Mad Max (malgré mes 29ans 😉 ), je ne trouve pas que cet article rabaisse le film, surtout venant ,comme il est écrit, d’une néophyte à cet l’univers ! ( La ventoline à paillettes… =D)
Chacun sa vision du film et de l’univers qui y est retranscrit, mais peut être qu’il pourrait être intéressant, puisque le film semble avoir plu, de voir au moins le 2!
Bon visionnage!
Charles Chinasky
C’est déjà fait. À l’époque on a sorti un article dessus. Je t’invite à chercher
Le Waw
Heu… DÉJÀ MATES LES ORIGINAUX. ICI C’EST UNE AUTRE VISION DE CE HÉROS PAR SON CRÉATEUR.
MÊME SI J’AVOUE QUE TA VISION M’A FAIT RIRE. T’ES UN PEU PASSÉ À CÔTÉ.
Le Waw
J’avais déjà fait un article dessus…
https://anotherwhiskyformisterbukowski.com/2015/06/12/mad-max-fury-road-ou-le-retour-de-la-plus-grande-saga-post-apo/